Quatre-vingt-dix-sept paragraphes qui sont autant de chapitres d'un livre éclaté et sans structure, des phrases courtes comme les idées de son auteur sur le monde :Warax est un des plus mauvais romans de la rentrée. Pavel Hak s'était distingué, en 2002, avec Sniper. Aujourd'hui, il ne fait plus mouche. Lorgnant ou plutôt louchant maladroitement vers Houellebecq et Dantec, son roman d'anticipation est une apocalypse littéraire.